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                Ghislaine Belaieff  

                        Poétesse        

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                                            LA VOIX DU POETE

 

Par la Poésie aller a l'essentiel et porter un regard avisé sur le monde, la société, la justice, la liberté, les droits de l'homme... Intéresser à la poésie, ceux qui ne la connaissent pas ou peu, défendre l'humain dans ce qu'il a de sacré. 

 

 

  

                                                

15 avril 2020 

 

 

 

                                              Dernière poésie

 

                        Le crépuscule des humains  -  COVID 19

  

 

Fin 2019 une nouvelle de CHINE annonçait une pandémie  par le CORONAVIRUS , COVID 19 !

Le thème étant sérieux je me propose de lui dédier de nombreuses poésies , voici la première : 

 

 

                                                            COVID 19

Une pandémie a été montée de toutes pièces qui a mis le monde à genoux . Il  n’ont pas eu le courage d’affronter les blouses blanches mensongères. Ils ont été confinés, stigmatisés, assassinés dans des EHPAD . Les dictateurs ont foulé les lois, les constitutions, les libertés publiques. Ils n’ont pas protesté, ils se sont masqués , ils ont demandé plus de privation de liberté , plus de confinement , plus de dictature . Ils se sont agenouillés devant une fausse pandémie, ont gesticulé , triste carnaval , avec leurs masques , leurs tenues grotesques .... Et ils ont creusé la tombe des libertés, la tombe de l’humanité ! 

                                                           

 

                                   Le crépuscule des humains 

 

Il  vient de tomber le crépuscule des humains,

Rien ne sera plus , hélas , entre leurs mains !

Il est sorti des enfers , le mensonge meurtrier,

Et  aujourd'hui il s'attaque à toute l'humanité !,;

 

Hier encore il était tapi, peureux , modeste,

Éteignant les lumières ça et là, léger et preste,

Aujourd'hui , sans masque , sans pudeur,

Le voilà répandu sur terre, semant la terreur,!

 

Il  a donné un nom à son  dernier forfait mortel,

Il  a choisi son instrument pour  bien frapper,

Il l'a revêtu de blouses blanches sacramentelles,

Et il a respiré fort son pouvoir , le satané ...

 

Le crépuscule tombe sur les âmes domptées, endormies,

Le satané plante fièrement son orgueilleuse autorité et rit !

Il gesticule fièrement  sous mascarade damnée,

Entouré de blouses blanches dans cette obscurité !

 

Le crépuscule tombe sur  les âmes endormies,

Le satané plante fièrement sa drogue dans chaque lit,

Et ils dorment et ils rêvent, et ils ont peur les inoculés

De cette peste , de ce songe , de cette calamité !

 

Ils ne seront plus jamais comme avant,

En leur âme ensommeillée s'est installée Satan!

Ils seront les esclaves, les serviteurs ,

Race nouvelle de robots au service des dictateurs !

 

Ils ne se réveilleront pas de leur sommeil coupable,

Ils ont préféré le mensonge travesti, ses fables...

Ils ont préféré s'affubler de masques pervers, 

Ils ont préféré se tortiller comme des vers ...

 

Ils n'on pas contesté les ténèbres envahissantes,

Ils n'ont pas allumé  la  lanterne clairvoyante, 

Ils ont préféré les bougies artificielles ,

Ils ont laissé le satané   leur couper les ailes ...

 

Et rampant devant l'infamie universelle organisée,

À être des rampants ils se sont habitués .

Sous la menace de leur santé précieuse,

A toutes les dictatures, et infamies odieuses

 

ILS SE SONT PRÉTÉS ...

TRISTE CRÉPUSCULAIRE HUMANITÉ !

 

 

                                                                      © Ghislaine  Belaieff

 

 

 

 
 

 

 

 

 

             

 

 

 

                                    

 

 

  AMOUR VOLAGE

 

 

 

Amour volage, où es-tu donc?

        Coeurs frivoles

Qui cessez brusquement 

        De palpiter,

Pourquoi ces changements,

Pourquoi la mortalité? 

       Amour humain

Éphémère et passager, 

Faut-il en toi ne plus croire,

Et sans cesse recommencer?
Esprit humain , infidèle et léger,

A ta chair es-tu tristement attaché?

        Amour éternel, 

Souffle puissant de Dieu,

Es-tu si loin des yeux?

Croyant te tenir, Amour, 

Nous ne faisons que te frôler,

Et refermant nos mains

Nous n’y voyons plus rien!

       Triste coeur,

A tes fausses amours attaché,

        Es-tu de ton âme,

       L’ennemi acharné?

 

                           © Ghislaine  Belaieff

 

                     DEUX

 

 

 

Le mystère de l’amour, c’est le deux,

Toi et moi, si tu le veux.

Deux , sans querelle ni séparation,

Alchimique et divine association!

Le mystère c’est aussi Un, Deux,Trois,

Indissociables, séparés et unis à la fois!

Le mystère de l’amour c’est l’Esprit

De deux amoureux unis dans l’harmonie...

Un ,deux, trois, mais seulement deux

Toi et moi, si tu le veux!

 

 

                             © Ghislaine  Belaieff

Nouvelle fable 

4 février 2015

 

 

       LES DEUX  VIEUX ET LEURS ENFANTS

 

 

Trois enfants convoitaient,  ingrats

         De leurs parents l’héritage.

Attendre plus longtemps leur paraissait peu sage,

Pourquoi donc attendre de ces vieux le trépas?

 

             Ils se mirent d’accord

Pour abréger des malheureux l’inutile vie.

- Ils ont sur cette terre bien assez servi

Et méritent bien le repos de la mort ,

Vivre trop longtemps est un bien triste sort !

 

Mais comment ferons-nous pour les y pousser

          Ils ne semblent pas pressés

Et ils sont encore en excellente santé!

 

Le plus sinistre des trois enfants 

Aux deux autres sa stratégie proposa

-Il  existe des lieux faits pour cela,

Une maison de retraite fera l’affaire,

   Voilà la façon de s’en défaire

 

D’une voix mielleuse on commença

A se préoccuper de la santé

Des pauvres vieux qui jusque-là

En excellente santé vivaient.

 

Ce ne furent que préoccupations fielleuses

Qu’empressements , que paroles mielleuses

Les protéger devint mission impérieuse,

De ces enfants aux âmes délicieuses !

 

             Ils firent tant et tant

Qu’ils rendirent malades leurs parents.

Exaltés par leur diabolique prouesse,

En maison de retraite les mirent en vitesse.

Bientôt de tristesse les pauvres vieux moururent

Enterrés vivants par leur propre progéniture!

 

          Prenez garde enfants ingrats

          Vos enfants aussi seront là

Pour vous pousser avant l’heure au trépas,

           Votre exemple ils suivront,

Sans honte ni remords ni compassion.

 

 

              NOUVELLES POÉSIE

            18  janvier 2015

 

 

 

JE NE SUIS PAS AUTRUI

  JE NE SUIS PAS CHARLIE

 

 

Je ne suis pas Charlie

Je ne suis pas autrui

Parce que je n’emprunte pas

Aux Sibylles les discours

Énigmatiques et obscurs

 

 

       Sybille

                         Wikipédia

 

Dans la mythologie grecque, la sibylle est une prêtresse d'Apollon qui personnalise la divination et prophétise. 

Elles le faisaient dans un langage énigmatique permettant de nombreuses interprétations, 

ce qui les mettait à l'abri de toute contestation ultérieure….

On qualifie de  « sibyllin » des écrits ou des paroles obscures, énigmatiques, mystérieuses ou à double sens. 

 

 

 

 

JE NE SUIS PAS AUTRUI

     Je ne suis pas Charlie

 

Je ne suis pas Charlie

Parce que je ne mélange pas

Tout et n’importe quoi

Parce que je sais qui je suis

Et que  je ne suis pas autrui !

 

Je ne suis pas Charlie

Totalitarisme qui claironne

Parce que vous n’êtes personne

Pour me dire qui je suis

 

Je ne suis pas Charlie

Parce que je n’emprunte pas

Aux Sibylles les discours

Énigmatiques et obscurs

 

Je ne suis pas Charlie

Parce c’est mon droit

D’être respectée dans ma foi 

 

Je ne suis pas Charlie

Parce que l’obscénité je honnis

Parce que je suis libre de penser

Sans que ma liberté vous contestiez

 

Parce qu’à l’athéisme 

Vous ne sauriez me forcer

Parce que la violence est de votre côté

Parce que la République vous insultez

 

Et indécemment vous l’appropriez

 

Parce que le  non français

Vous imposez …

Par slogans obscurs interposés

Indignes de cerveaux éclairés !

 

Parce que vous enchevêtrez

Liberté , terrorisme, athéisme

Parce que ,sybillins, vous interprétez

A votre guise la liberté et les ismes

 

Parce que vous entraînez

Le peuple abusé

Par de fallacieux slogans

Insultes à l’entendement….

 

Je ne suis pas Charlie

Parce que je ne suis pas autrui

 

Et  sachez que  Dieu a dit

Avant toute vos lois , 

Avec force aux croyants ici-bas,

Tu ne tueras pas !!

 

Et je vous prie de vous exprimer

Finalement en français !

 

           Ghislaine Belaieff

                            18-1-2015

 

 

 

 

                   LA MINUTE TOTALITAIRE

 

 

                      Big Brother , 

  le professeur, le bâton et les moutons

 

 

BIG BROTHER

- Faisons une minute de silence totalitaire

Pour répandre notre pouvoir sur toute la terre!

 

LES MOUTONS

- Nous garderons silence,

A vous nous faisons allégeance.

 

LE PROFESSEUR

- Je ne souhaite pas participer

A la minute totalitaire

Que je m’éloigne , souffrez,  Big Brother, 

Et me laissez en liberté !

 

BIG BROTHER au bâton 

- Frappez , frappez le mécréant 

Qui conteste mes commandements !

 

LE BÂTON

- Pour cet outrage tu es radié

A vie et sans pitié

 

LE PROFESSEUR

- En hommage à la liberté 

Que vous célébrez ?

 

BIG BROTHER

- Oui , en vertu de ma liberté indiscutable

De soumettre les moutons de l’étable.

 

La minute totalitaire

Fut célébrée 

Les moutons soumis

Big Brother applaudi !

 

La Liberté jetée

Aux orties et piétinée…

 

              Ghislaine Belaieff

 

 

 

 

 

        

                                     

 

 

 

 

 

                    NOUVELLES   REFLEXIONS 

 

Prévenir, c'est souvent réprimer 

Comme ils sont touchants les Charlie opportunistes !

L'école doit inculquer les valeurs, les parents n'en ont pas ?

 

                                 

 

                                                         Janvier 2015

 

1)  Un pervers invente un mot

      Les moutons se jettent à l’ eau !

 

2 )  Un mot est jeté 

      Par-dessus bord les moutons ont sauté !

 

3)   Un philosophe se promène dans la nuit 

      Ravi….

      Apparaît un réverbère

      Son coeur se serre!

 

4)  Aujourd’hui le progrès de la société dans l’art, la musique ou les moeurs est un hymne sublime à la laideur et à la vulgarité.

 

5)  Freud   a cru qu'il était Dieu . Il connaissait les âmes et les guérissait .Il sait maintenant outre-tombe qu'il ne l'était pas.

 

6)     Ils crient" s'exclament les chanteurs sans voix.

Comme ils voudraient crier aussi bien que ces chanteurs -là !

 

7)     Les superlatifs honteux : Aider les plus pauvres , les plus démunis. 

Les  pauvres ou  démunis qu'ils se débrouillent !

 

8)    L’homme debout n'est pas l'athée,  vermisseau couché sur terre, mais le croyant les pieds sur terre et regardant les cieux.

 

9)     Réussir,  c'est remplir une mission,  faire ce qu'il nous échet de  faire,

et non ce qui est glorieux aux yeux du monde.

 

10)  Conchita Wurst : Quand les médias appellent un homme , une femme, bonjour Orwell 1984 !

 

 11)  Les gens sensés rendent clair ce qui est obscur, les philosophes rendent obscur ce qui est clair. Cherchez l'erreur !

 Juin 2014

 

1) On n'a pas besoin de trahir, pour réussir. 

2) L'homme , digne de ce nom , n'a pas d'inconscient, il a une conscience.

3)Quel besoin ont les athées de discréditer la foi, sinon celui de se rassurer sur l’au-delà et l’inexistence d’un Dieu qui pourrait bien leur demander des comptes ?

                               NOUVELLE POÉSIE

                                                                 22 août 2014

 

 

 

 

  LA VÉRITÉ DANS LE CIEL FLAMBOYAIT

 

 

La Vérité dans le ciel flamboyait pour les humains

Mais ,  vint à passer le mensonge obscur, fils du Malin

- Qui prétends-tu impressionner orgueilleuse Vérité?

Je te le donne en mille , tu seras vite désertée, 

Malgré ta hauteur, céleste vérité, tu choieras ,

Et dans le fond d’un puits tu tomberas....

Le puits que tu prépares pour moi, sera ta dernière heure,  

Les étoiles dans le ciel, à jamais demeurent..

- Jamais nul ne m’y jettera ,

De lueurs étincelantes la nuit  m ’habillera,

Et tes pâles lueurs lointaines s’éteindront,

Le vil humain , oubliera jusqu’à ton nom !

- Mon nom importe peu, car je suis et tu n’es pas,

Celui qui m’aime me cherchera,

Mes lueurs jusqu’à lui descendront,

Et digne de moi il défendra ce  nom....

- Et comment feras-tu pour arracher mes mensonges,

Pour les tirer de la stupeur, de leurs coupables songes?

- Ils ne sont pas tous dignes de moi,

Celui qui me trahit avec toi choiera!

Et ce précipice que tu creuses pour moi, c’est le vôtre

Celui des menteurs ; et de moi , les faux apôtres!

Je suis la reine des cieux et nul ne me voit,

Si son  coeur ne regarde vers moi ,

Ils sont aveugles ceux qui me tournent le dos,

Indignes de mes rayons , adorateurs du faux.

Mais ils seront éclairés par la foi,

Les coeurs purs, et monteront vers moi.

Tandis que toi, menteur effronté,

Au fond du ravin de l’éternelle obscurité

Tu finiras ton règne avec ton troupeau noir

D’êtres  éphémères, soupirs d’un soir !!!

 

 

    NOUVELLE FABLE

       2 janvier 2015

 

 

 

                      PENSÉE 

 L’ÉCRIVAIN ET LE PHILOSOPHE

 

 

 

Un écrivain à la plume féconde

En compagnie de Pensée parcourt le monde

De sa plume fertile à son service écrit

De cette souveraine , épris .

 

Vient à passer un philosophe outré

A la vue de Pensée, s’offusquant, dépité .

Quoi, un écrivain en compagnie si belle

Comment t’es-tu approché d’elle ?

 

L’écrivain étonné lui répond:

 

- Mais de toute mon oeuvre, elle est le fonds!

 

-  Toi et Pensée réunis, tu veux rire,

Ne sais-tu impudent, que tu ne fais que d’écrire ?

Moi, le penseur , je suis le maître de Pensée,

Toi , à ces délices tu ne saurais accéder!

 

Pensée, rouge de colère, s’évanouit des lieux,

Infestés par le philosophe vicieux.

Loin de lui la voilà aussitôt envolée,

Entraînant à sa suite l’écrivain éclairé!

 

Ne discours plus avec la nuit ténébreuse

Moi, le philosophe me nargue, écriture boueuse,

Je veux avec toi jusqu’à la fin discourir,

Vite, vite, tous deux ont commencé de courir !

 

Et ils courent encore hors de sa portée,

Là où ne peut que mourir Pensée !

 

                                Ghislaine Belaieff

                                                        2 janvier 2015

    NOUVELLE POÉSIE

       10  janvier 2015

 

 

 

 ET SI EN PLUS…

     LE CIEL T’ATTENDAIT!

 

Réponse à Alain Souchon :

« Et si le ciel était vide

….Et si en plus y’a personne »

 

 

 

Et si en plus tu étais orgueilleux

Et si en plus tu outrageais les Cieux

Et  si en plus la Vérité

A  ton esprit retors était cachée?

 

Et si en plus tu confondais,

Religions et  Ciel

Et si en plus inutilement tu te battais,

Don Quichotte et sot éternel ?

 

Et si niant toute grandeur

Tu t’élevais sur les hauteurs

Scrutant le Ciel  et décidant

Que Dieu n’est qu’opium grisant ?

 

Et si petit  humain sans discernement

Tu vantais, miniature, ton entendement,

Et si tu n’étais que paille éparpillée

Dans la brume des cerveaux étriqués ?

 

Et si en plus le Ciel souriant

Contemplait ton orgueilleux égarement,

Et pour te juger , t’attendait là-haut, 

Toi, le roi des sots ?

 

 

            Ghislaine Belaieff

                                        10 janvier 2015

 

 

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