TA FINITUDE HUMAINE
Tu stigmatises, cynique la foi,
Ancré à ta matérialité.
Tu l’appelles délire, l’espérance, l’éternité,
Toi qui en rien ne crois.
Rivé à ta finitude humaine,
Ta rage sans bornes est certaine.
Ta science, ta médecine , ta philosophie
Dans la mort et la finitude
Terminent leur parcours sans vie.
Et adorateur de la poussière , tu vis...
Toi , pauvre fétu, qui meurs sans espoir,
Au service de la mort, soupir vain d’un soir !